Essai Yamaha X-Max 300 2017 

La famille Max change et évolue et le 250 cm3 ne fait pas exception. Il disparaît du catalogue pour laisser la place à un tout nouveau modèle qui passe à 300 cm3 de cylindrée. Celui qui s’est vendu en Europe à plus de 150 000 unités et dont la cylindrée commence à grappiller des parts du marché au 125 cm3, avait besoin d’une bonne mise à niveau. Et voilà qui est chose faite.

C’est en plein cœur d’une des plus belles villes d’Italie, Florence, la ville de l’art et de l’architecture typique que Yamaha nous a donné rendez-vous pour découvrir le dernier né de la famille Max. Étudié pour un usage urbain et périphérique, il répond au profit d’un usager de plus de 35 ans ayant le permis moto et qui a des besoins de déplacement au quotidien. Et pour la petite touche en plus, il est aux normes Euro4 et est disponible pour les permis A2.

Quant le besoin se mue en désir, voici la phrase d’accroche que l’on a entendu une bonne partie de la présentation. Et par rapport à la version de 2005, il est vrai que le X-Max est beaucoup plus attrayant visuellement et fait plus travailler que la dernière de 2013. Adoptant la philosophie du design boomerang du T-Max, il apparaît bien plus agressif et moderne. La face avant en X est particulièrement réussie avec un double optique plongeant à LED et qui est répercuté également sur les feux arrière, aussi à LED. Le nez un peu plat donne un drôle d’effet de profil, mais on finit par s’y faire. Le galbe du tablier et du tunnel donne suffisamment de place pour les jambes et se termine par une large selle à dosseret pour le pilote, une place suffisante pour le passager qui dispose toujours de deux larges poignées de maintien. Le positionnement de la boîte à air au-dessus du carter de transmission fait massif et pas très bien intégré, mais c’est l’un des choix qui fait gagner de la place dans le coffre sous selle.

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