Essai Yamaha X-Max 300

Le scooter mid-size de chez Yamaha se refait une beauté et se dote d’un contrôle de traction

Essai du Yamaha X-Max 300
Ca doit être ça, l’effet de la mondialisation. Car l’époque est au changement de cylindrée : adieu la 250, on t’aimait bien. Pourtant, on connaît ça depuis toujours, les 250. De la Ducati Desmo à la Yamaha XT, de la MZ ETS à la Kawasaki KR-1, de la Moto Guzzi Airone à la Harley-Davidson SS 250 Aermacchi, l’histoire de la moto est pleine de machines de cette cylindrée. Et à l’exception des Suzuki GSX-R et V-Strom ainsi que des Honda CRF, les nouveautés en « moyenne-basse cylindrée » sont plus souvent en 300 : c’est le résultat des marchés mondialisés ou tant en Asie du Sud-Est qu’en Amérique Latine, cette cylindrée a la cote auprès de la classe moyenne émergente qui les voit comme des engins statutaires.

De fait, adieu les 250 et surtout adieu les Xmax 250. Ce scooter, lancé en par Yamaha en 2005, a été remis à jour une fois en 2010 puis une autre en 2013. Cette famille de scooters a connu un succès correct, avec des pics de vente à plus de 19 000 unités annuelles en 2006 et 2007, avant de s’éroder régulièrement.

De fait, on pourrait considérer au choix, que ce Xmax 300 constitue la 4ème génération de cette famille, ou qu’elle marque plutôt une rupture, car tout n’est pas à la fois plus moderne, mais c’est aussi nouveau du sol au plafond, avec un nouveau moteur et un nouveau cadre. C’est évidemment comme cela qu’il faut considérer ce Xmax 300.

 

 

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